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L’APPORT DU TRAVAIL DE L’ARCHITECTE

Laurence Croslard, architecte et urbaniste, travaille en collaboration avec Maisons de l’Avenir City sur leurs projets

« Je travaille sur ces projets depuis quatre ans environ, depuis le départ du nouveau label « Maisons de l’Avenir City ».

J’interviens de la conception jusqu’au permis de construire. Mon rôle est de concevoir des projets de maisons individuelles, et Maisons de l’Avenir prend en charge l’économie et la réalisation du projet.

En tant qu’architecte, ma fonction dans ce partenariat est de donner une cohérence, une harmonie et une personnalisation à un ensemble de maisons, mitoyennes ou pas. Je peux par exemple, proposer un projet de base qui peut se décliner avec des variantes de couleur ou de matériaux. J’essaie également de faire en sorte que les propositions soient différentes, originales et appropriées au site dans lequel elles s’inscrivent afin de se démarquer de la production classique. Mon travail offre une valeur ajoutée en termes d’image et d’esthétique.

Nous évoluons en complémentarité avec Maisons de l’Avenir car je maîtrise toute la partie conception, et eux ont de leur côté une filière d’entreprises partenaires qu’ils connaissent bien. Ils obtiennent donc de meilleurs prix. Les projets bénéficient donc des apports respectifs de chacun »

Maisons de l’Avenir City zoom sur une équipe homogène et réactive

La réussite du projet Maisons de l’Avenir City repose à la fois sur une méthode de travail, de nombreux moyens mis en œuvre et une équipe réactive, où plusieurs métiers travaillent en synergie. Focus sur ses principaux protagonistes.

L’« éclaireur » : Philippe Violle est l’interlocuteur qui va faire connaître le montage Maisons de l’Avenir City, sa mécanique, son intérêt, aux acteurs concernés de la chaîne habitat : les EPCI, maires, aménageurs publics ou privés, urbanistes…

– La « tour de contrôle » : Ivan Le Theno est le directeur du développement. Son rôle est de coordonner et superviser les actions des différents métiers. Il est en lien avec la direction du groupe tout au long du processus en tant qu’animateur et interlocuteur de l’ensemble des acteurs internes et externes.

– Le « cœur du réacteur » ou le bureau d’études : Bruno Descormier et Manuela Dandois dessinent et chiffrent les projets Maisons de l’Avenir City. Leurs propositions prennent en compte tant les attentes des partenaires en matière de cibles de clientèle, de densification et d’architecture, que les prescriptions d’urbanisme ou celles des cahiers des charges des Z.A.C ou lotissements.

« La force de frappe » : Cyril Renvaze, Christophe Colloch, Mathieu Janneau et Jean Ropers sont les managers commerciaux de Maisons de l’Avenir City. Ce sont eux qui, lors du montage du projet, vont donner leur avis d’experts sur l’état des marchés locaux et sur les prix compatibles avec ceux-ci. Ce sont surtout eux qui, avec leurs équipes de conseillers, vont définir et mettre en place un plan d’action commercial visant une vente rapide des lots et maisons des programmes Maisons de l’Avenir City.

– Enfin, les « bâtisseurs » : les conducteurs de travaux vont lancer, coordonner et surveiller les chantiers de construction. Avec deux points forts de vigilance : le respect des délais et la qualité des prestations fournies par les artisans.

C’est cette équipe aux compétences variées et qui se complètent, qui permet d’offrir une cohérence à tous les projets de Maisons de l’Avenir City.

L’habitat en France, des tendances pour l’avenir

Le secteur de l’habitat, et notamment celui de la maison individuelle, a été fortement marqué par la pandémie de Covid-19. De nouvelles tendances ont émergé, d’autres se sont renforcées… Une chose est sûre, notre quotidien et notre rapport à l’habitat sont modifiés. Des volumes intérieurs mieux agencés et la présence d’un extérieur sont devenus essentiels. Le numérique, par le biais du télétravail et des logements plus respectueux de l’environnement deviennent des critères importants pour les ménages.

La maison au cœur des préoccupations, un besoin d’espace 

Après plusieurs mois de confinement, le besoin d’espace se fait sentir. Les ultras citadins se tournent vers la campagne et quittent leur appartement de centre-ville pour se diriger vers des maisons dans de plus petites agglomérations ou à la campagne. Les modes de vie ont évolué et, à la suite de cette période, les Français passent plus de temps chez eux. Ainsi, l’aménagement intérieur et surtout l’agencement des pièces deviennent primordiaux. La création au sein des maisons d’espaces pour chacun est de plus en plus demandée : un bureau, une salle de sport, une chambre pour chaque membre de la famille… Nombreux sont les citoyens à se tourner vers la maison individuelle en construction. Cela permet de définir ses priorités quant à l’agencement des pièces, de disposer d’un environnement plus privé et de répondre à ce besoin pressant d’espace. La maison individuelle est encore aujourd’hui un objectif pour de nombreux Français. D’après une étude de l’Institut Harris Interactive juste après le confinement, 62% des interrogés souhaitaient quitter leur appartement pour une maison. 

Le jardin et les extérieurs, une préoccupation centrale des familles

L’appartement dispose de nombreux avantages : accès moins coûteux à la propriété, densification urbaine, … Cependant, sa plus grande limite est l’absence d’extérieur pour une majorité d’entre eux. Le jardin est ce qui a manqué le plus aux familles durant la période de confinement. Avec l’impossibilité de se rendre dans des lieux extérieurs publics, la vie familiale s’est complexifiée. 

La présence d’un extérieur est devenue un critère incontournable pour l’achat d’un bien immobilier en résidence principale. Ainsi, les familles, en particulier avec enfants, souhaitent investir dans des biens avec un extérieur. Le jardin devient une pièce supplémentaire de la maison, aussi importante que la cuisine ou la salle de bains. La solution de Maisons de l’Avenir ? Des maisons éco-conçues où l’orientation des surfaces vitrées et leur nombre permettent d’inviter l’extérieur à l’intérieur pour un confort optimal. 

Le travail à la maison, une véritable évolution 

Nous sommes nombreux à avoir goûté au télétravail. La crise sanitaire nous a permis de nous rendre compte que le travail à domicile était une option viable grâce aux différents progrès digitaux. Pour certains, cela a été l’occasion de trouver un nouvel équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Une chose est sûre, le télétravail se démocratise et l’habitat doit évoluer dans ce sens. 

Les maisons neuves peuvent prévoir l’implantation dès la conception d’un espace de travail individuel ou mixte, pour permettre à chaque membre de la famille de trouver son équilibre. Un bureau dédié la journée au télétravail des parents et le soir aux devoirs des enfants. 

L’écologie, plus que jamais au cœur des considérations 

La crise sanitaire et ses conséquences ont réveillé les consciences écologiques. Aujourd’hui, la conception de l’habitat doit préserver les ressources naturelles. Les maisons neuves sont mieux isolées pour permettre aux foyers de consommer moins d’énergie. L’implantation de pompe à chaleur ou de panneaux photovoltaïques permet également de faire un geste pour la planète et pour son portefeuille. 

L’habitat de demain se veut également plus sain : des espaces ventilés, une limitation des composants organiques volatiles, un intérieur lumineux… Il est aussi possible de concevoir un potager dans son jardin, d’installer de la domotique pour mieux gérer ses consommations, etc. La maison de demain se dessine avec les clients pour un foyer mieux conçu.

Réalité virtuelle & réalité augmentée : Les nouvelles technologies au service de l’immobilier

Il est coutume de dire que le futur propriétaire ou locataire a besoin de se projeter pour adopter un nouvel appartement ou une nouvelle maison. Pour certains, il peut cependant s’avérer difficile d’imaginer à quoi ressemblera son nouvel habitat une fois les meubles installés, les murs peints à leur goût… Les futurs propriétaires des Maisons de l’Avenir peuvent depuis quelques années déjà bénéficier des avancées technologiques en matière de visualisation de projet :

– la réalitée augmentée permet aux futurs acquéreurs d’afficher leur projet de construction sur le terrain choisi bien avant la fin des travaux.

– la réalité virtuelle quant à elle, permet via un casque ou même un simple smartphone aux futurs propriétaires de visiter leur bien aménagé. Pratique lorsqu’il s’agit de se projeter dans son projet de construction !

L’acheteur ne pouvait auparavant que se fier aux perspectives et aux plans de l’architecte : il peut maintenant, d’un coup d’œil, voir sa future maison et tourner la tête pour l’observer sous toutes les coutures, à l’intérieur comme à l’extérieur.

Une petite révolution pour le secteur immobilier, qui devrait également rassurer les futurs acheteurs ou locataires !

Emprunt : durée longue, pourquoi pas ?

Les durées longues de prêt ne doivent pas effrayer les ménages : 

1- Ils les solvabilisent et permettent souvent de supporter une charge mensuelle égale voire inférieure à leur loyer actuel. 

2- Le niveau bas des taux permet d’amortir un peu le capital. 

3- Ces prêts sont modulables et permettent aux clients, après quelques années, d’augmenter leurs mensualités et de raccourcir leurs durées finales.

Faciliter les premières acquisitions

Située à 10 km de Rennes, la commune de Melesse a validé un projet de lots denses aux Jardins du Feuil : des maisons neuves clé-en-main à coût maîtrisé, à destination des ménages en recherche d’une première acquisition.

À 10 minutes de Rennes, au cœur de la communauté de communes du Val de l’Ille, Melesse figure comme une ville de campagne qui a connu une forte évolution démographique au cours de ces dernières années. Ici comme dans beaucoup de communes se posent les problématiques de la consommation excessive de foncier, couplée à une absence de cohérence ar- chitecturale et environnementale : suite à une consultation à constructeur lancée par la mairie à l’aménageur CM-CIC pour mener un projet d’habitat sur un îlot de 1 073 m2, le concept Avenir City, développé par les Maisons de l’Avenir, a finalement été retenu.

Avenir City, construire avec un seul salaire

Le programme Avenir City est composé de trois axes essentiels : une découpe optimale des terrains, un budget accessible même avec un seul salaire et une cohérence architecturale et environnementale pour que le logement s’intègre dans le paysage de la commune. Le tout pour une offre de maisons groupées au meilleur rapport qualité-prix. « Ces trois conditions – la découpe, le prix et l’architec- ture maîtrisés – étaient bien sûr imposées dès le départ par la mairie, l’architecte conseil et l’aménageur », explique Cyril Renvazé, animateur commercial du groupe Maisons de l’Avenir en Ille-et-Vilaine. Au final, ces concertations ont permis de concevoir une opération maison + terrain à partir de 166 000 €, tous frais confondus pour l’acheteur.

Des maisons personnalisables

Les cinq habitations individuelles ont chacune leur jardin privé et un garage ou un abri voiture, au choix des clients : ces maisons dites évolutives permettent à l’acheteur de personnaliser à loisir les plans intérieurs, de décider du nombre de chambres (deux ou trois) et de la disposition des pièces. « Il fallait également penser aux besoins futurs des occupants, qui plutôt que de revendre leur maison par souci de place, pourront opter pour une extension ». enfin, l’aspect clé-en-main séduit l’acheteur, qui peut s’installer sans même avoir à peindre les murs à son goût : le constructeur s’en charge avant son arrivée !

« Ces produits ont eu un succès immédiat : les premières maisons sorties de terre ont été livrées en 2016. Il n’en reste plus qu’une encore disponible à la vente ! », conclut Cyril Renvazé.

Repenser le territoire

Élus, chargés d’opérations Sem, bailleurs sociaux, collectivités, et tous ceux qui ont la responsabilité et la volonté de développer un logement en adéquation avec les besoins humains et environnementaux de notre époque, la lettre d’information Urbanisme & Solutions a été pensée pour vous par des professionnels de la construction et de l’urbanisme. Vous y trouverez des exemples concrets de réalisations qui répondent aux problématiques actuelles d’aménagement du territoire.

La loi SRU accélère en effet la prise de décision des communes et impacte considérablement la gestion des zones constructibles en s’appuyant sur le Plan Local d’urbanisme (PLu), encadré par le Schéma de cohérence territoriale (Scot). L’acheteur est au cœur de cette mesure, qui agrandit encore la palette des offres de logement et rend l’accession possible à un plus grand nombre.Ces perspectives changent aussi le regard des constructeurs, promoteurs et urbanistes, qui ont la volonté d’adapter leurs offres aux nouvelles attentes de la population tout en marquant de manière responsable et durable le territoire.Ce premier numéro qui donne la part belle aux projets menés en Ille-et-Vilaine, élaborés pour la plupart dans le cadre du nouveau PLH de Rennes métropole, illustre concrètement des opérations transposables à l’ensemble du territoire breton.Bonne lecture.

Bernard et Hermann Genouel pour urbatys et groupe Maisons de l’avenir