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Ergué-Gabéric : Un projet mixte aux Terrasses du Rouillen

Le quartier du Rouillen à Ergué-Gabéric change de visage ! La collectivité aménage l’avenue du Rouillen pour la rendre plus sécurisée et la société Urbatys implantera sur cette avenue remaniée un ensemble résolument moderne dont la conception a été confiée au cabinet AREA/Philippe Robert de Quimper.

À quelques minutes à peine des centres-villes de Quimper et d’Ergué-Gabéric, en Finistère, le quartier des Terrasses du Rouillen offre la garantie d’un achat de qualité aux personnes désireuses de devenir propriétaires d’un appartement, notamment par le biais du PTZ+. Ce projet immobilier peut également intéresser les investisseurs. Ces 15 appartements 2 et 3 pièces répondent bien sûr aux exigences de la Réglementation Thermique 2012.

Les Terrasses de Rouillen sont articulées autour d’un projet mixte : des locaux professionnels sont installés aux rez-de-chaussée pour faire vivre le quartier tout en préservant la tranquillité des habitants de la résidence. Écoles, infrastructures sportives et culturelles à proximité : les habitants peuvent également rejoindre rapidement l’axe Brest/Nantes en voiture, s’évader à Bénodet, qui n’est qu’à une vingtaine de minutes en voiture, ou profiter des transports en commun de l’agglomération Quimpéroise : Quimper Bretagne Occidentale.

BREST Le « Village », un bel exemple de densification en centre ville

À Brest, un nouveau village est en train de voir le jour rue de Prat Podic : pourquoi « Le Village » ? Tout simplement parce que cette opération, composée de maisons individuelles et de logements intermédiaires, crée un ensemble homogène de faible hauteur, comparable à un petit bourg, qui rentre parfaitement dans les objectifs de densification de la métropole.

La première pierre du « Village » a été posée le 13 octobre dernier, sur un terrain de 8 000 m2 exposé plein sud, qui jouit d’une vue imprenable sur la ville. Dix-neuf maisons individuelles vont sortir de terre, ainsi que 7 petits collectifs d’un étage. Ces derniers comporteront en tout 33 appartements, du T2 au T3, pour la plupart munis de jardins pour les rez-de-chaussée, et de balcons pour les logements situés à l’étage. Chaque logement individuel sera pourvu d’un garage. Des places de stationnement privatives et communes ont été prévues et organisées pour faciliter le quotidien des occupants. Les premières livraisons devraient s’échelonner à partir du dernier trimestre de l’année 2018 et vont ainsi répondre à la problématique de densification urbaine de la métropole.

Le calme en ville

Situé en cœur d’îlot, ce programme permettra de combiner le calme pour chaque logement et la privatisation des parties communes, ce qui accentuera le confort de vie au quotidien. La petite hauteur de l’ensemble de ce programme va permettre un ensoleillement maximal de chaque habitation. « Nous aurions pu créer de grandes barres d’immeubles sur ce grand terrain : ce n’était pas notre objectif, notamment pour le voisinage déjà implanté dans le secteur, qui aurait pu perdre en ensoleillement et en tranquillité. Il fallait un programme qui tienne sur peu de hauteurs pour rendre

ce nouveau petit quartier agréable pour ses habitants ! », explique Chantal Girard, qui a lancé ce projet Urbatys et le mène de A à Z en totale concertation avec Brest Métropole, impliquée dès les prémices du programme. Dans ce cadre idéal, propice à la vie de famille, les habitants pourront rapidement rejoindre toutes les commodités de la ville : sportives, avec la proximité du complexe du petit Kerzu, culturelles, et de loisirs… Sans compter la proximité des établissements scolaires, de la crèche à la primaire, en passant par le collège et le lycée.

Un village pour qui ?

Il s’adresse aux accédants et primo-accédants, mais il peut également intéresser les investisseurs ainsi qu’en attestent les 22 premières ventes déjà réalisées

Programme local de l’habitat de Lorient

L’humain, l’environnement l’économie du territoire

Le Programme local de l’habitat de Lorient Agglomération a été adopté en février 2017 par l’ensemble des quelque 25 communes du territoire lorientais. Mûri depuis 2 ans par les élus, en concertation avec l’ensemble des acteurs de l’habitat, il se présente comme la feuille de route de la politique de l’habitat jusqu’à 2022. Rencontre avec Marie-Christine Detraz, vice-présidente de Lorient Agglomération en charge de l’habitat.

Le nouveau programme local de l’habitat de Lorient Agglomération est entré en vigueur en début d’année : comment a-t-il été élaboré ?

Il va concerner les 25 communes de Lorient Agglomération, soit 201 000 habitants actuellement, ce qui fait de notre agglomération la 3ème de Bretagne. Ce document à la fois politique et très opérationnel détermine 21 actions qui s’assortissent d’un budget de 37,7 millions d’euros. La démarche a été de partir d’un diagnostic pour établir un plan d’action : il nous aura fallu 2 ans et 88 réunions avec les élus des différentes communes, les partenaires de l’habitat (associations des locataires, bailleurs sociaux, architectes, promoteurs, lotisseurs, constructeurs,…) pour cibler les orientations de ce nouveau PLH. Les principaux enjeux sont multiples et se déclinent en trois axes majeurs : l’humain, l’environnement et l’économie du territoire.

Quelles sont les orientations du PLH 2017-2022 ? 

Nous sommes partis du fait que nous avions plusieurs défis à relever : tout d’abord, la reprise démographique sur le territoire. Nous avons l’ambition d’impulser une croissance démographique de 0,34 %, ce qui est déjà énorme : pour 2022, on table sur une population municipale de 206 650 habitants !

Nous avons donc fixé le cap de 1 100 logements neufs par an sur l’ensemble du territoire : nous estimons que c’est nécessaire pour obtenir la croissance souhaitée. Un autre des enjeux est notamment de mieux équilibrer la production de logements pour ne pas déstabiliser l’ancien. Il nous faut également inscrire l’habitat durablement et économiser le foncier. Enfin, être toujours plus solidaire, ce qui passe par une meilleure répartition des logements sociaux, par exemple.

Quels sont les enjeux humains pour obtenir cette croissance démographique ? 

Entre autres, il nous faut atteindre une meilleure adéquation entre l’offre de logement de l’ensemble de Lorient Agglomération et les attentes des habitants. La première considération s’est portée sur le budget du logement, qui a littéralement explosé et touche aujourd’hui les classes moyennes. Il fallait donc faire en sorte que ce PLH soit le programme du pouvoir d’achat, autant pour les locataires et les accédants que pour les propriétaires.

Pour répondre à cet objectif, nous nous sommes concentrés sur les attentes des jeunes ménages (moins de quarante ans) et nous avons travaillé sur plusieurs axes : un logement social moins cher à la location, mais aussi, faciliter l’accession à la propriété. Nous savons que ces jeunes ménages aiment particulièrement les programmes de maisons, il était donc important de décliner sur l’agglomération un certain pourcentage de logements à prix plafonnés : le PLH en prévoit 184 par an.

Concrètement, en prenant en compte que le budget moyen de ces ménages se situe entre 180 000 / 190 000 €, un terrain ne doit pas dépasser les 45 000 € à l’achat ni excéder les 450 m².

À chaque territoire ses enjeux urbanistiques

Chaque commune a ses besoins et ses priorités en termes de politique d’habitat. À Lorient, tout l’enjeu est démographique : il faut trouver des solutions pour rétablir une croissance, un objectif ambitieux, mais pas inatteignable. Cette croissance ne peut s’obtenir qu’avec un Programme local de l’habitat en phase avec les attentes des Français, et parmi eux, les jeunes ménages, cible principale – mais pas unique – des programmes d’accession à la propriété. Car leur venue ne peut s’effectuer que si l’offre de logements d’une commune correspond à leurs attentes ! À Brest, c’est une tout autre problématique : il faut densifier, économiser le foncier, proposer de nouveaux logements qui permettent à chacun de se sentir bien, en logement intermédiaire comme individuel. À Cancale encore, il faut penser au renouvellement de la population… Vous trouverez dans ce deuxième numéro d’Urbanisme et Solutions, la newsletter du groupe Maisons de l’Avenir et d’Urbatys, des exemples d‘opérations réalisées, en concertation et en partenariat avec les élus et les acteurs de la chaine de l‘habitat, ils illustrent le souci commun de travailler en cohérence pour atteindre les objectifs fixés par les politiques locales de l’habitat.

Nouveaux habitats en réponse à la densification urbaine

La problématique de l’étalement urbain est omniprésente dans un nombre croissant de communes et d’agglomérations, qui mettent à l’honneur des solutions innovantes de densification urbaine pour améliorer leur attractivité tout en pensant au bien-être des habitants. Le PLU de Quimper vise ainsi la construction de 500 nouveaux logements par an, l’objectif étant de rattraper la perte de population de 1 600 habitants sur ces 6 dernières années, comme l’expliquait Guillaume Menguy, adjoint au maire chargé de l’urbanisme, en posant la première pierre de la résidence du Clos de Kerrequel. Ces nouvelles réalisations dans le quartier de Ty Bos vont comprendre 19 maisons individuelles, construites sur 4 600 m2, à 5 minutes des commodités du centre-ville et des axes principaux. Six de ces maisons ont été pensées pour l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite et sont donc de plain-pied. Tout en évitant au maximum de grignoter sur les terrains agricoles et naturels, et en offrant une habitabilité acceptable pour le voisinage, évaluée à 2,8 personnes par maison, à comparer à une moyenne de 1,7 habitant par appartement.

Liffré : Des lots denses qui répondent à de nouvelles tendances

Non loin de Rennes, hors de la Métropole, la commune de Liffré a accueilli de nouveaux habitants au cours de l’année 2016 : 18 nouveaux logements denses individuels sont sortis de terre, des habitats qui répondent en tout point aux tendances actuelles et au style de vie contemporain des acheteurs. Construites sur un terrain de 3 600 m², ces maisons individuelles arrivent à satisfaire la demande des personnes qui veulent allier à la vie urbaine les joies de profiter d’un extérieur privatif, tout en répondant aux problématiques de densification des communes. et pour cela, il a fallu étudier de près les aspirations de l’homme moderne !  Pour Urbatys le constat est clair : « Il y a 10 ans, les potentiels acheteurs exigeaient des terrains beaucoup plus étendus qu’à l’heure actuelle, aux alentours de 600 m² en moyenne ! Aujourd’hui, nous observons clairement un changement de style de vie : passer le week-end à tondre la pelouse ne fait plus rêver les gens, qui veulent avant tout profiter de leur jardin et accordent une importance toute particulière au « look » de leur maison, extérieur comme intérieur ». Dans ce lot dense, dont la première pierre a été posée à la fin de l’année 2014, chaque habitant jouit donc d’un petit terrain d’au moins 150 m². À seulement 20 km de la métropole !

Pleuven : Retour sur les logements locatifs sociaux

Un premier pas vers le créneau des logements intermédiaires, a été rendu possible grâce à l’étroite collaboration entre Habitat 29 et Urbatys. Dans cette commune du pays Fouesnantais (29), 14 appartements T3/T4 ont été construits au cœur de la ZAC Penhoat Salaun.

bilan de cette première opération : > 14 foyers logés, dont 64% de famille monoparentale, 14% de couples, 22% de personnes seules > La moyenne d’âge est de 42 ans avec des résidents âgés de 31 à 66 ans > Les nouveaux habitants ont été séduits par la qualité des logements et leur emplacement, idéalement situés à proximité du centre –bourg.

Orgères : Cap sur de nouvelles formes urbaines !

À Orgères, les regards se tournent vers une forme urbaine intermédiaire innovante pour limiter l’étalement urbain, tout en s’inscrivant dans le contexte de marché des communes de deuxième couronne : quatre habitats intermédiaires sont en voie de construction, soit huit logements qui ont déjà tous trouvé preneur.

Située à 15 km de Rennes, Orgères fait partie intégrante de la métropole et séduit bon nombre de familles désireuses de se mettre au vert tout en restant à proximité du Cœur de métropole. Dans une ère où les collectivités ont tendance à miser sur la densification plutôt que sur l’étalement urbain, la commune se lance dans une innovation née dans le cadre du nouveau PLH de Rennes Métropole : la création de logements intermédiaires comme réponse aux enjeux du marché des communes de deuxième couronne.

Un achat maîtrisé pour les ménages

Ces bâtiments presque semblables à des maisons individuelles ont été conçus pour répondre aux problématiques du PLH de la métropole : à savoir, comment proposer des logements peu consommateurs de foncier, adaptés à la demande dans les communes de deuxième couronne, et accessibles aux ménages aux revenus intermédiaires ? « Ici, on est sur des tranches de 150 000 euros, pour des logements terminés prêts à habiter : cet engagement sur le prix de sortie est une innovation importante pour nous, et représente un réel effort sur nos marges », explique Stéphane Gérard, responsable du développement d’Urbatys. De plus, les charges de copropriété sont donc très faibles, et chaque habitat comporte deux appartements, un par étage, aux entrées indépendantes, et chaque ménage bénéficie d’un extérieur privé, jardin ou terrasse, pour des surfaces allant de 60 à 75 m² habitables.

L’architecte du projet, Enrique DURAN, confirme : « J’ai conçu ce projet en accordant une importance particulière à la gestion des vis-à-vis, tout en évitant les parties communes bâties qui coûtent cher à la construction et en entretien. Ce cahier des charges, exigeant, imposé par Urbatys, m’a permis de faire évoluer ma perception de l’habitat vers un habitat plus conforme aux nouvelles prescriptions d’urbanisme fixées par les collectivités. »

Réduire l’étalement urbain

si ce nouveau produit offre une solution d’accession ou de location pour les catégories moyennes, il se plie également aux styles de vie actuels et aux problématiques environnementales. Comme le souligne Honoré Puil, vice-président de Rennes Métropole en charge de l’habitat, du logement et des gens du voyage, « On ne peut plus consommer le foncier comme par le passé, c’est une préoccupation environnementale majeure sur le territoire. Il faut faire en sorte de travailler à de nouvelles formes urbaines sur un foncier devenu rare, tout en préservant l’intimité et le bien-être des ménages ». Pour Rennes Métropole, on ne peut donc qu’encourager ce genre de formes urbaines, dont la première pierre est posée le 22 novembre 2016.

En savoir +
Contact : contact@urbatys.com
Web : www.urbatys.com

Programme local de l’habitat de Rennes métropole : Les enjeux de tout un territoire

Le Programme Local de l’Habitat (PLH) de la métropole rennaise a été adopté en décembre 2015 et concerne l’ensemble de la politique locale du logement du territoire d’ici la fin 2020. L’objectif global de ce programme élaboré avec l’ensemble des acteurs de la chaîne de l’habitat est de permettre l’accueil équilibré de tous, dans une métropole qui devrait approcher les 500 000 habitants à l’horizon 2030. Pour en connaître les enjeux, rencontre avec Honoré Puil, vice-président de Rennes Métropole en charge de l’habitat, du logement et des gens du voyage.

Le nouveau Programme Local Habitat de Rennes Métropole est entré en vigueur en ce début d’année : quels sont les grands axes de ce nouveau programme ? Interview de Honoré Puil

Le nouveau PLH de Rennes Métropole a nécessité des mois de travail et de concertations avec tous les acteurs de la chaîne de l’habitat. Pour déterminer le volume de construction pour les années à venir, il nous fallait d’abord tenir compte de l’évolution des modes de vie avec, entre autres, deux angles primor- diaux : le desserrement des ménages et l’attractivité de la métropole. Nous gardons donc le cap quantitatif de 4000 logements à construire par an de 2015 à 2020, soit 24 000 logements sur toute la durée du PLH. L’autre grand axe de ce programme est d’élargir la gamme des produits proposés à destination des catégories dites moyennes de la population. La question était la suivante : Comment répondre le mieux possible aux attentes des ménages aux revenus intermédiaires, en proposant de nouveaux produits adaptés à leur solvabilité? Entre logements libres et logements aidés a donc été développée une nouvelle catégorie de logements : les logements régulés, offrant une gamme diversifiée de logements locatifs ou en accession, à des prix intermédiaires.

Rennes Métropole encourage le développement des lots denses régulés : quelles sont leurs spécificités et leurs objectifs ?

Le lot dense régulé est un produit de la catégorie des logements régulés. Il s’agit d’une offre de logements individuels à prix maîtrisé, proposés sur de petits terrains à bâtir, à destination des personnes bénéficiaires du Prêt à taux 0. Le prix du terrain (fixé à 42 500 euros au maximum) et de la construction de la maison ne doivent pas dépasser les 200 000 euros pour l’acheteur, un seuil défini par la Métropole. Ce produit doit répondre également à la politique de densification qui fait partie intégrante du PLH. Autre produit pour élargir cette fois la gamme du logement locatif intermédiaire privé, la mise en œuvre du Pinel régulé, qui permet à l’investisseur comme au locataire de bénéficier d’un prix encore inférieur au Pinel classique.
La démarche de Maisons de l’Avenir va dans la bonne direction et correspond à une attente des ménages. Elle s’inscrit tout à fait dans les orientations de notre politique de l’habitat et du logement.

PLH de Rennes Métropole, « Volonté, diversité, solidarité »

Volonté, diversité, solidarité sont les maîtres-mots d’introduction du Programme Local d’Habitat de Rennes Métropole, qui vise à répondre aux enjeux collectifs comme aux attentes individuelles. La volonté, pour atteindre l’objectif de 4000 logements livrés par an, avec le respect de production de logements sociaux en ligne de mire. La diversité, parce que le programme s’attache à tenir compte de la réalité des territoires, à différencier l’identité de chaque commune en s’appuyant sur le Schéma de Cohérence Territoriale (ScoT). Ce nouveau PLH donne également la part belle à la solidarité entre les communes de la métropole, avec une répartition équilibrée et équitable de l’effort d’accueil des familles les plus modestes.

La VEFA

Mieux construire en bord de mer et dans les centres-villes

La VEFA permet effectivement de créer un aménagement d’ensemble pour un programme immobilier, ce qui dans des secteurs sensibles, comme le littoral et les centres-villes, assure une cohérence- architecturale.- 

C’est en concevant des programmes immobiliers qui s’intègrent dans leur environnement que l’on peut apporter une valeur ajoutée. Pour cela, le mot d’ordre chez Urbatys est de travailler en concertation avec les collectivités, notamment les élus en contact avec la population et les services de l’urbanisme. 

Cette démarche permet :

• En zone littorale : de présenter des projets qui permettent de répondre à la demande d’une clientèle en quête de nouveaux horizons tout en respectant les exigences de la loi littoral. 

• En zone urbaine : d’exploiter un foncier de manière optimum en créant des logements qui peuvent correspondre à des clientèles spécifiques (familles monoparentales, seniors, professionnels, …). 

Nos projets sont conformes aux règles de densification et de renouvellement urbain.- Ces axes de développement sont et resteront ceux d’Urbatys, qui pourra ainsi répondre aussi bien à la demande grandissante des particuliers qu’à l’attente des collectivités.