Construction

LE CELLIER Comment produire ensemble du logement à coût abordable?

À 25 minutes de Nantes en bord de Loire, trois maisons toute hauteur à la toiture en tuiles, toutes équipées de carports en bois, ont été programmées au Cellier (44), dans une démarche partenariale menée avec Bap Viabilis.

Les deux premières sont d’ores et déjà aménagées et occupées, et la troisième, dont la construction a démarré en septembre, devrait bientôt être achevée et livrée à ses propriétaires : il faut en général compter onze mois de construction pour ces habitations d’une surface moyenne de 84 m2, installées sur des terrains allant de 230 à 310 m2. Non loin du vieux bourg, celui où jadis, Louis de Funès aimait à parcourir les allées du Château de Clermont, ces maisons de type 4 répondent au besoin de la commune en termes d’accession à la propriété.

La commune du Cellier a en effet imposé un plafond pour la totalité de l’opération terrain + maison, afin de rendre possible l’achat même pour des jeunes ménages. Ces derniers seront installés à près de 150 m de la nouvelle mairie, à 200 m d’un stade et des écoles, et pourront rapidement rallier la RN23 qui mène notamment à Nantes et Angers.

LE BONO : Des maisons de ville accessibles aux revenus modestes

En Morbihan, Le Bono se pare de nouvelles habitations en lot dense pour accueillir les ménages. Un endroit idéal pour les familles, qui allie le confort d’une petite ville portuaire authentique aux commodités des agglomérations voisines.

Petit village paisible et authentique situé à seulement 5 minutes d’Auray et 15 minutes de Vannes, Le Bono compte aujourd’hui 2 267 habitants… Et bientôt de nouveaux venus qui vont pouvoir s’installer dans 5 maisons individuelles, non loin du bourg, dans la ZAC Mane Mourin Lavarion. Ces maisons, précisément quatre T4 et un T5, vont être bâties sur un lot découpé en 5 terrains de 294 à 324 m, pour des surfaces d’habitation comprises entre 72 et 82 m, un programme réalisé en partenariat avec EADM. Chaque propriétaire jouira également d’un carport pour son véhicule. Le prix de vente de chaque projet atteint 170 000 €, dans lesquels sont compris le terrain, la construction, les frais annexes (ouverture de compteurs, implantation par géomètre, frais de notaire, clôtures, engazonnement, carport…).

Gageons que ces maisons de ville toute hauteur feront le bonheur des familles de par leur architecture bonoviste à souhait, leur exposition idéale qui leur fera profiter d’un ensoleillement maximum… Et leurs performances thermiques en phase avec la RT 2012 !

Saint-Armel : Un partenariat réussi entre Coop Habitat Bretagne et Maisons de l’Avenir

Quatre maisons en accession sociale sont en cours de construction dans la commune de Saint-Armel, à 13 km au sud de Rennes : une réalisation menée de concert par le promoteur Coop Habitat Bretagne et Maisons de l’avenir dans le lotissement de La Nouette.

L’environnement politique rennais en termes de logement implique un programme local de l’habitat très formel, avec notamment l’obligation de réaliser un certain nombre de logements sociaux sur l’ensemble de la métropole. Au sud de la commune de Saint-Armel, la Société Viabilis Aménagement porte le projet d’un lotissement : ce PLH impose un certain nombre de logements sociaux et un minimum de quatre logements en accession sociale. « Viabilis s’est donc rapproché de la puissance publique, qui nous a confié ce dernier volet », explique Patrice Cordier, gérant de Coop Habitat Bretagne, promoteur immobilier rennais. « Pour nous, ce projet était plutôt petit par rapport à ce que nous traitons habituellement : il était quasiment impossible d’y appliquer notre modèle économique. Nous sommes donc convenus Mr Cordier, gérant de avec Rennes COOP Habitat Bretagne Métropole de faire appel à un opérateur adapté à ce genre d’opérations : voilà comment nous avons pris contact avec les Maisons de l’Avenir pour la conception et la construc- tion de ces logements »

Une opération clé en main

Maisons de l’Avenir a ainsi dessiné quatre maisons identiques et présenté un premier projet à l’équipe de Coop Habitat Bretagne. « Maisons de l’Avenir a été efficace et a répondu à nos attentes : le projet proposé a tout de suite été retenu ». Les quatre maisons sont ainsi en cours de construction depuis avril 2017 au sud de la commune, dans le lotissement de La Nouette. Chacune est bâtie sur une parcelle de 210 m2 : ces T4 d’une moyenne de 85 m2 disposent tous d’un étage et d’un jardin. Les locataires – puis futur propriétaires dans les années à venir – s’y installeront à partir du 3e trimestre 2018. « Le permis de construire a été très vite obtenu et les maisons ont également vite trouvé preneurs : ces locataires n’auront plus qu’à poser leurs valises dans leur future propriété ».

Saint-Erblon : Logements intermédiaires à la ZAC « Les Basses Noës »

Un tout nouveau programme de logements intermédiaires est en train d’émerger sur le bassin rennais, à Saint-Erblon, dans la ZAC « Les Basses Noës ». Réalisée par la SADIV, cette nouvelle zone se trouve à proximité immédiate du centre bourg de Saint-Erblon : la société Urbatys a souhaité proposer son savoir-faire en matière de logements intermédiaires pour permettre aux futurs Saint-Erblonnais d’acquérir un logement qui répondra à leurs attentes à un budget contenu. Ce programme de 10 logements leur permettra de bénéficier du confort de

vie au sein d’un ensemble à l’architecture moderne et harmonieuse, tout en étant installés en première couronne rennaise. Le lancement de la commercialisation est prévu à fin 2017.

Programme local de l’habitat de Lorient

L’humain, l’environnement l’économie du territoire

Le Programme local de l’habitat de Lorient Agglomération a été adopté en février 2017 par l’ensemble des quelque 25 communes du territoire lorientais. Mûri depuis 2 ans par les élus, en concertation avec l’ensemble des acteurs de l’habitat, il se présente comme la feuille de route de la politique de l’habitat jusqu’à 2022. Rencontre avec Marie-Christine Detraz, vice-présidente de Lorient Agglomération en charge de l’habitat.

Le nouveau programme local de l’habitat de Lorient Agglomération est entré en vigueur en début d’année : comment a-t-il été élaboré ?

Il va concerner les 25 communes de Lorient Agglomération, soit 201 000 habitants actuellement, ce qui fait de notre agglomération la 3ème de Bretagne. Ce document à la fois politique et très opérationnel détermine 21 actions qui s’assortissent d’un budget de 37,7 millions d’euros. La démarche a été de partir d’un diagnostic pour établir un plan d’action : il nous aura fallu 2 ans et 88 réunions avec les élus des différentes communes, les partenaires de l’habitat (associations des locataires, bailleurs sociaux, architectes, promoteurs, lotisseurs, constructeurs,…) pour cibler les orientations de ce nouveau PLH. Les principaux enjeux sont multiples et se déclinent en trois axes majeurs : l’humain, l’environnement et l’économie du territoire.

Quelles sont les orientations du PLH 2017-2022 ? 

Nous sommes partis du fait que nous avions plusieurs défis à relever : tout d’abord, la reprise démographique sur le territoire. Nous avons l’ambition d’impulser une croissance démographique de 0,34 %, ce qui est déjà énorme : pour 2022, on table sur une population municipale de 206 650 habitants !

Nous avons donc fixé le cap de 1 100 logements neufs par an sur l’ensemble du territoire : nous estimons que c’est nécessaire pour obtenir la croissance souhaitée. Un autre des enjeux est notamment de mieux équilibrer la production de logements pour ne pas déstabiliser l’ancien. Il nous faut également inscrire l’habitat durablement et économiser le foncier. Enfin, être toujours plus solidaire, ce qui passe par une meilleure répartition des logements sociaux, par exemple.

Quels sont les enjeux humains pour obtenir cette croissance démographique ? 

Entre autres, il nous faut atteindre une meilleure adéquation entre l’offre de logement de l’ensemble de Lorient Agglomération et les attentes des habitants. La première considération s’est portée sur le budget du logement, qui a littéralement explosé et touche aujourd’hui les classes moyennes. Il fallait donc faire en sorte que ce PLH soit le programme du pouvoir d’achat, autant pour les locataires et les accédants que pour les propriétaires.

Pour répondre à cet objectif, nous nous sommes concentrés sur les attentes des jeunes ménages (moins de quarante ans) et nous avons travaillé sur plusieurs axes : un logement social moins cher à la location, mais aussi, faciliter l’accession à la propriété. Nous savons que ces jeunes ménages aiment particulièrement les programmes de maisons, il était donc important de décliner sur l’agglomération un certain pourcentage de logements à prix plafonnés : le PLH en prévoit 184 par an.

Concrètement, en prenant en compte que le budget moyen de ces ménages se situe entre 180 000 / 190 000 €, un terrain ne doit pas dépasser les 45 000 € à l’achat ni excéder les 450 m².

À chaque territoire ses enjeux urbanistiques

Chaque commune a ses besoins et ses priorités en termes de politique d’habitat. À Lorient, tout l’enjeu est démographique : il faut trouver des solutions pour rétablir une croissance, un objectif ambitieux, mais pas inatteignable. Cette croissance ne peut s’obtenir qu’avec un Programme local de l’habitat en phase avec les attentes des Français, et parmi eux, les jeunes ménages, cible principale – mais pas unique – des programmes d’accession à la propriété. Car leur venue ne peut s’effectuer que si l’offre de logements d’une commune correspond à leurs attentes ! À Brest, c’est une tout autre problématique : il faut densifier, économiser le foncier, proposer de nouveaux logements qui permettent à chacun de se sentir bien, en logement intermédiaire comme individuel. À Cancale encore, il faut penser au renouvellement de la population… Vous trouverez dans ce deuxième numéro d’Urbanisme et Solutions, la newsletter du groupe Maisons de l’Avenir et d’Urbatys, des exemples d‘opérations réalisées, en concertation et en partenariat avec les élus et les acteurs de la chaine de l‘habitat, ils illustrent le souci commun de travailler en cohérence pour atteindre les objectifs fixés par les politiques locales de l’habitat.

Cancale : Des maisons accessibles, un coût et une architecture maîtrisés

À l‘extrémité Ouest de la Baie du mont Saint-Michel, Cancale fait partie intégrante de Communauté d’agglomération de saint-Malo : en pleine expansion, la commune entreprend depuis quelques années l’aménagement d’une ZAC dont la priorité de la partie logements est d’offrir la possibilité aux jeunes ménages d’acquérir des terrains à coût raisonnable. Le projet retenu par la mairie propose un produit complet, « terrain + maisons », à aménager sur 5 des 18 lots de la première tranche de la ZAC. Un travail en partenariat total avec la municipalité, mais aussi la communauté d’agglomération, puisque, grâce au redécoupage en cinq lots au lieu des quatre initialement prévus, trois de ces maisons sont éligibles aux aides à l’accession à la propriété de Saint-Malo Agglomération. Pour pouvoir bénéficier de cette subvention qui facilite l’accès à la construc- tion et à l’acquisition d’un logement neuf aux primo-accédants, le prix maximal au m² ne doit pas excéder les 2200 euros pour la commune de Cancale, et le prix du terrain ne doit pas excéder les 40 000 euros net vendeur pour la construction d’une maison individuelle. Or les maisons du programme Avenir City sont accessibles à partir de 165 000 euros, livrées clé-en-main. Trois de ces maisons sont déjà construites, une est en cours, la dernière va être lancée prochainement : un beau programme qui s’inscrit également dans l’architecture extérieure des maisons, qui sont très « esprit Cancale ».

Saint-Jean-sur-Vilaine : S’inscrire durablement dans le paysage local

Accorder plus de possibilités aux primo-accédants ne dispense pas de construire des maisons qui s’accordent avec le paysage local : à Saint-Jean-sur-Vilaine, neufs terrains découpés au préalable par la muni- cipalité ont été soumis à consultation à 12 constructeurs : un certain nombre d’entre eux ont répondu à cet appel lancé pour aménager plusieurs maisons individuelles en programme dense, sur un secteur situé à l’entrée principale du bourg. Ce programme faisait partie intégrante de l’aménagement de la ZAC de la Huberderie : les 9 logements groupés en contrat de maison individuelle proposés par Maisons de l’Avenir, dans le cadre du concept Avenir City, ont été retenus après l’analyse et les auditions de rigueur. L’un des critères demandait clairement à ce que les futures constructions soient intégrées complètement au paysage environnant : jolies, propres, adaptées au terrain et à la ville, et bien sûr, à destination des primo-accédants.

Programme local de l’habitat de Rennes métropole : Les enjeux de tout un territoire

Le Programme Local de l’Habitat (PLH) de la métropole rennaise a été adopté en décembre 2015 et concerne l’ensemble de la politique locale du logement du territoire d’ici la fin 2020. L’objectif global de ce programme élaboré avec l’ensemble des acteurs de la chaîne de l’habitat est de permettre l’accueil équilibré de tous, dans une métropole qui devrait approcher les 500 000 habitants à l’horizon 2030. Pour en connaître les enjeux, rencontre avec Honoré Puil, vice-président de Rennes Métropole en charge de l’habitat, du logement et des gens du voyage.

Le nouveau Programme Local Habitat de Rennes Métropole est entré en vigueur en ce début d’année : quels sont les grands axes de ce nouveau programme ? Interview de Honoré Puil

Le nouveau PLH de Rennes Métropole a nécessité des mois de travail et de concertations avec tous les acteurs de la chaîne de l’habitat. Pour déterminer le volume de construction pour les années à venir, il nous fallait d’abord tenir compte de l’évolution des modes de vie avec, entre autres, deux angles primor- diaux : le desserrement des ménages et l’attractivité de la métropole. Nous gardons donc le cap quantitatif de 4000 logements à construire par an de 2015 à 2020, soit 24 000 logements sur toute la durée du PLH. L’autre grand axe de ce programme est d’élargir la gamme des produits proposés à destination des catégories dites moyennes de la population. La question était la suivante : Comment répondre le mieux possible aux attentes des ménages aux revenus intermédiaires, en proposant de nouveaux produits adaptés à leur solvabilité? Entre logements libres et logements aidés a donc été développée une nouvelle catégorie de logements : les logements régulés, offrant une gamme diversifiée de logements locatifs ou en accession, à des prix intermédiaires.

Rennes Métropole encourage le développement des lots denses régulés : quelles sont leurs spécificités et leurs objectifs ?

Le lot dense régulé est un produit de la catégorie des logements régulés. Il s’agit d’une offre de logements individuels à prix maîtrisé, proposés sur de petits terrains à bâtir, à destination des personnes bénéficiaires du Prêt à taux 0. Le prix du terrain (fixé à 42 500 euros au maximum) et de la construction de la maison ne doivent pas dépasser les 200 000 euros pour l’acheteur, un seuil défini par la Métropole. Ce produit doit répondre également à la politique de densification qui fait partie intégrante du PLH. Autre produit pour élargir cette fois la gamme du logement locatif intermédiaire privé, la mise en œuvre du Pinel régulé, qui permet à l’investisseur comme au locataire de bénéficier d’un prix encore inférieur au Pinel classique.
La démarche de Maisons de l’Avenir va dans la bonne direction et correspond à une attente des ménages. Elle s’inscrit tout à fait dans les orientations de notre politique de l’habitat et du logement.

PLH de Rennes Métropole, « Volonté, diversité, solidarité »

Volonté, diversité, solidarité sont les maîtres-mots d’introduction du Programme Local d’Habitat de Rennes Métropole, qui vise à répondre aux enjeux collectifs comme aux attentes individuelles. La volonté, pour atteindre l’objectif de 4000 logements livrés par an, avec le respect de production de logements sociaux en ligne de mire. La diversité, parce que le programme s’attache à tenir compte de la réalité des territoires, à différencier l’identité de chaque commune en s’appuyant sur le Schéma de Cohérence Territoriale (ScoT). Ce nouveau PLH donne également la part belle à la solidarité entre les communes de la métropole, avec une répartition équilibrée et équitable de l’effort d’accueil des familles les plus modestes.

L’APPORT DU TRAVAIL DE L’ARCHITECTE

Laurence Croslard, architecte et urbaniste, travaille en collaboration avec Maisons de l’Avenir City sur leurs projets

« Je travaille sur ces projets depuis quatre ans environ, depuis le départ du nouveau label « Maisons de l’Avenir City ».

J’interviens de la conception jusqu’au permis de construire. Mon rôle est de concevoir des projets de maisons individuelles, et Maisons de l’Avenir prend en charge l’économie et la réalisation du projet.

En tant qu’architecte, ma fonction dans ce partenariat est de donner une cohérence, une harmonie et une personnalisation à un ensemble de maisons, mitoyennes ou pas. Je peux par exemple, proposer un projet de base qui peut se décliner avec des variantes de couleur ou de matériaux. J’essaie également de faire en sorte que les propositions soient différentes, originales et appropriées au site dans lequel elles s’inscrivent afin de se démarquer de la production classique. Mon travail offre une valeur ajoutée en termes d’image et d’esthétique.

Nous évoluons en complémentarité avec Maisons de l’Avenir car je maîtrise toute la partie conception, et eux ont de leur côté une filière d’entreprises partenaires qu’ils connaissent bien. Ils obtiennent donc de meilleurs prix. Les projets bénéficient donc des apports respectifs de chacun »

Maisons de l’Avenir City zoom sur une équipe homogène et réactive

La réussite du projet Maisons de l’Avenir City repose à la fois sur une méthode de travail, de nombreux moyens mis en œuvre et une équipe réactive, où plusieurs métiers travaillent en synergie. Focus sur ses principaux protagonistes.

L’« éclaireur » : Philippe Violle est l’interlocuteur qui va faire connaître le montage Maisons de l’Avenir City, sa mécanique, son intérêt, aux acteurs concernés de la chaîne habitat : les EPCI, maires, aménageurs publics ou privés, urbanistes…

– La « tour de contrôle » : Ivan Le Theno est le directeur du développement. Son rôle est de coordonner et superviser les actions des différents métiers. Il est en lien avec la direction du groupe tout au long du processus en tant qu’animateur et interlocuteur de l’ensemble des acteurs internes et externes.

– Le « cœur du réacteur » ou le bureau d’études : Bruno Descormier et Manuela Dandois dessinent et chiffrent les projets Maisons de l’Avenir City. Leurs propositions prennent en compte tant les attentes des partenaires en matière de cibles de clientèle, de densification et d’architecture, que les prescriptions d’urbanisme ou celles des cahiers des charges des Z.A.C ou lotissements.

« La force de frappe » : Cyril Renvaze, Christophe Colloch, Mathieu Janneau et Jean Ropers sont les managers commerciaux de Maisons de l’Avenir City. Ce sont eux qui, lors du montage du projet, vont donner leur avis d’experts sur l’état des marchés locaux et sur les prix compatibles avec ceux-ci. Ce sont surtout eux qui, avec leurs équipes de conseillers, vont définir et mettre en place un plan d’action commercial visant une vente rapide des lots et maisons des programmes Maisons de l’Avenir City.

– Enfin, les « bâtisseurs » : les conducteurs de travaux vont lancer, coordonner et surveiller les chantiers de construction. Avec deux points forts de vigilance : le respect des délais et la qualité des prestations fournies par les artisans.

C’est cette équipe aux compétences variées et qui se complètent, qui permet d’offrir une cohérence à tous les projets de Maisons de l’Avenir City.