Urbanisme & Solutions

Cancale : Des maisons accessibles, un coût et une architecture maîtrisés

À l‘extrémité Ouest de la Baie du mont Saint-Michel, Cancale fait partie intégrante de Communauté d’agglomération de saint-Malo : en pleine expansion, la commune entreprend depuis quelques années l’aménagement d’une ZAC dont la priorité de la partie logements est d’offrir la possibilité aux jeunes ménages d’acquérir des terrains à coût raisonnable. Le projet retenu par la mairie propose un produit complet, « terrain + maisons », à aménager sur 5 des 18 lots de la première tranche de la ZAC. Un travail en partenariat total avec la municipalité, mais aussi la communauté d’agglomération, puisque, grâce au redécoupage en cinq lots au lieu des quatre initialement prévus, trois de ces maisons sont éligibles aux aides à l’accession à la propriété de Saint-Malo Agglomération. Pour pouvoir bénéficier de cette subvention qui facilite l’accès à la construc- tion et à l’acquisition d’un logement neuf aux primo-accédants, le prix maximal au m² ne doit pas excéder les 2200 euros pour la commune de Cancale, et le prix du terrain ne doit pas excéder les 40 000 euros net vendeur pour la construction d’une maison individuelle. Or les maisons du programme Avenir City sont accessibles à partir de 165 000 euros, livrées clé-en-main. Trois de ces maisons sont déjà construites, une est en cours, la dernière va être lancée prochainement : un beau programme qui s’inscrit également dans l’architecture extérieure des maisons, qui sont très « esprit Cancale ».

Saint-Jean-sur-Vilaine : S’inscrire durablement dans le paysage local

Accorder plus de possibilités aux primo-accédants ne dispense pas de construire des maisons qui s’accordent avec le paysage local : à Saint-Jean-sur-Vilaine, neufs terrains découpés au préalable par la muni- cipalité ont été soumis à consultation à 12 constructeurs : un certain nombre d’entre eux ont répondu à cet appel lancé pour aménager plusieurs maisons individuelles en programme dense, sur un secteur situé à l’entrée principale du bourg. Ce programme faisait partie intégrante de l’aménagement de la ZAC de la Huberderie : les 9 logements groupés en contrat de maison individuelle proposés par Maisons de l’Avenir, dans le cadre du concept Avenir City, ont été retenus après l’analyse et les auditions de rigueur. L’un des critères demandait clairement à ce que les futures constructions soient intégrées complètement au paysage environnant : jolies, propres, adaptées au terrain et à la ville, et bien sûr, à destination des primo-accédants.

Liffré : Des lots denses qui répondent à de nouvelles tendances

Non loin de Rennes, hors de la Métropole, la commune de Liffré a accueilli de nouveaux habitants au cours de l’année 2016 : 18 nouveaux logements denses individuels sont sortis de terre, des habitats qui répondent en tout point aux tendances actuelles et au style de vie contemporain des acheteurs. Construites sur un terrain de 3 600 m², ces maisons individuelles arrivent à satisfaire la demande des personnes qui veulent allier à la vie urbaine les joies de profiter d’un extérieur privatif, tout en répondant aux problématiques de densification des communes. et pour cela, il a fallu étudier de près les aspirations de l’homme moderne !  Pour Urbatys le constat est clair : « Il y a 10 ans, les potentiels acheteurs exigeaient des terrains beaucoup plus étendus qu’à l’heure actuelle, aux alentours de 600 m² en moyenne ! Aujourd’hui, nous observons clairement un changement de style de vie : passer le week-end à tondre la pelouse ne fait plus rêver les gens, qui veulent avant tout profiter de leur jardin et accordent une importance toute particulière au « look » de leur maison, extérieur comme intérieur ». Dans ce lot dense, dont la première pierre a été posée à la fin de l’année 2014, chaque habitant jouit donc d’un petit terrain d’au moins 150 m². À seulement 20 km de la métropole !

Pleuven : Retour sur les logements locatifs sociaux

Un premier pas vers le créneau des logements intermédiaires, a été rendu possible grâce à l’étroite collaboration entre Habitat 29 et Urbatys. Dans cette commune du pays Fouesnantais (29), 14 appartements T3/T4 ont été construits au cœur de la ZAC Penhoat Salaun.

bilan de cette première opération : > 14 foyers logés, dont 64% de famille monoparentale, 14% de couples, 22% de personnes seules > La moyenne d’âge est de 42 ans avec des résidents âgés de 31 à 66 ans > Les nouveaux habitants ont été séduits par la qualité des logements et leur emplacement, idéalement situés à proximité du centre –bourg.

Orgères : Cap sur de nouvelles formes urbaines !

À Orgères, les regards se tournent vers une forme urbaine intermédiaire innovante pour limiter l’étalement urbain, tout en s’inscrivant dans le contexte de marché des communes de deuxième couronne : quatre habitats intermédiaires sont en voie de construction, soit huit logements qui ont déjà tous trouvé preneur.

Située à 15 km de Rennes, Orgères fait partie intégrante de la métropole et séduit bon nombre de familles désireuses de se mettre au vert tout en restant à proximité du Cœur de métropole. Dans une ère où les collectivités ont tendance à miser sur la densification plutôt que sur l’étalement urbain, la commune se lance dans une innovation née dans le cadre du nouveau PLH de Rennes Métropole : la création de logements intermédiaires comme réponse aux enjeux du marché des communes de deuxième couronne.

Un achat maîtrisé pour les ménages

Ces bâtiments presque semblables à des maisons individuelles ont été conçus pour répondre aux problématiques du PLH de la métropole : à savoir, comment proposer des logements peu consommateurs de foncier, adaptés à la demande dans les communes de deuxième couronne, et accessibles aux ménages aux revenus intermédiaires ? « Ici, on est sur des tranches de 150 000 euros, pour des logements terminés prêts à habiter : cet engagement sur le prix de sortie est une innovation importante pour nous, et représente un réel effort sur nos marges », explique Stéphane Gérard, responsable du développement d’Urbatys. De plus, les charges de copropriété sont donc très faibles, et chaque habitat comporte deux appartements, un par étage, aux entrées indépendantes, et chaque ménage bénéficie d’un extérieur privé, jardin ou terrasse, pour des surfaces allant de 60 à 75 m² habitables.

L’architecte du projet, Enrique DURAN, confirme : « J’ai conçu ce projet en accordant une importance particulière à la gestion des vis-à-vis, tout en évitant les parties communes bâties qui coûtent cher à la construction et en entretien. Ce cahier des charges, exigeant, imposé par Urbatys, m’a permis de faire évoluer ma perception de l’habitat vers un habitat plus conforme aux nouvelles prescriptions d’urbanisme fixées par les collectivités. »

Réduire l’étalement urbain

si ce nouveau produit offre une solution d’accession ou de location pour les catégories moyennes, il se plie également aux styles de vie actuels et aux problématiques environnementales. Comme le souligne Honoré Puil, vice-président de Rennes Métropole en charge de l’habitat, du logement et des gens du voyage, « On ne peut plus consommer le foncier comme par le passé, c’est une préoccupation environnementale majeure sur le territoire. Il faut faire en sorte de travailler à de nouvelles formes urbaines sur un foncier devenu rare, tout en préservant l’intimité et le bien-être des ménages ». Pour Rennes Métropole, on ne peut donc qu’encourager ce genre de formes urbaines, dont la première pierre est posée le 22 novembre 2016.

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Programme local de l’habitat de Rennes métropole : Les enjeux de tout un territoire

Le Programme Local de l’Habitat (PLH) de la métropole rennaise a été adopté en décembre 2015 et concerne l’ensemble de la politique locale du logement du territoire d’ici la fin 2020. L’objectif global de ce programme élaboré avec l’ensemble des acteurs de la chaîne de l’habitat est de permettre l’accueil équilibré de tous, dans une métropole qui devrait approcher les 500 000 habitants à l’horizon 2030. Pour en connaître les enjeux, rencontre avec Honoré Puil, vice-président de Rennes Métropole en charge de l’habitat, du logement et des gens du voyage.

Le nouveau Programme Local Habitat de Rennes Métropole est entré en vigueur en ce début d’année : quels sont les grands axes de ce nouveau programme ? Interview de Honoré Puil

Le nouveau PLH de Rennes Métropole a nécessité des mois de travail et de concertations avec tous les acteurs de la chaîne de l’habitat. Pour déterminer le volume de construction pour les années à venir, il nous fallait d’abord tenir compte de l’évolution des modes de vie avec, entre autres, deux angles primor- diaux : le desserrement des ménages et l’attractivité de la métropole. Nous gardons donc le cap quantitatif de 4000 logements à construire par an de 2015 à 2020, soit 24 000 logements sur toute la durée du PLH. L’autre grand axe de ce programme est d’élargir la gamme des produits proposés à destination des catégories dites moyennes de la population. La question était la suivante : Comment répondre le mieux possible aux attentes des ménages aux revenus intermédiaires, en proposant de nouveaux produits adaptés à leur solvabilité? Entre logements libres et logements aidés a donc été développée une nouvelle catégorie de logements : les logements régulés, offrant une gamme diversifiée de logements locatifs ou en accession, à des prix intermédiaires.

Rennes Métropole encourage le développement des lots denses régulés : quelles sont leurs spécificités et leurs objectifs ?

Le lot dense régulé est un produit de la catégorie des logements régulés. Il s’agit d’une offre de logements individuels à prix maîtrisé, proposés sur de petits terrains à bâtir, à destination des personnes bénéficiaires du Prêt à taux 0. Le prix du terrain (fixé à 42 500 euros au maximum) et de la construction de la maison ne doivent pas dépasser les 200 000 euros pour l’acheteur, un seuil défini par la Métropole. Ce produit doit répondre également à la politique de densification qui fait partie intégrante du PLH. Autre produit pour élargir cette fois la gamme du logement locatif intermédiaire privé, la mise en œuvre du Pinel régulé, qui permet à l’investisseur comme au locataire de bénéficier d’un prix encore inférieur au Pinel classique.
La démarche de Maisons de l’Avenir va dans la bonne direction et correspond à une attente des ménages. Elle s’inscrit tout à fait dans les orientations de notre politique de l’habitat et du logement.

PLH de Rennes Métropole, « Volonté, diversité, solidarité »

Volonté, diversité, solidarité sont les maîtres-mots d’introduction du Programme Local d’Habitat de Rennes Métropole, qui vise à répondre aux enjeux collectifs comme aux attentes individuelles. La volonté, pour atteindre l’objectif de 4000 logements livrés par an, avec le respect de production de logements sociaux en ligne de mire. La diversité, parce que le programme s’attache à tenir compte de la réalité des territoires, à différencier l’identité de chaque commune en s’appuyant sur le Schéma de Cohérence Territoriale (ScoT). Ce nouveau PLH donne également la part belle à la solidarité entre les communes de la métropole, avec une répartition équilibrée et équitable de l’effort d’accueil des familles les plus modestes.

La VEFA

Mieux construire en bord de mer et dans les centres-villes

La VEFA permet effectivement de créer un aménagement d’ensemble pour un programme immobilier, ce qui dans des secteurs sensibles, comme le littoral et les centres-villes, assure une cohérence- architecturale.- 

C’est en concevant des programmes immobiliers qui s’intègrent dans leur environnement que l’on peut apporter une valeur ajoutée. Pour cela, le mot d’ordre chez Urbatys est de travailler en concertation avec les collectivités, notamment les élus en contact avec la population et les services de l’urbanisme. 

Cette démarche permet :

• En zone littorale : de présenter des projets qui permettent de répondre à la demande d’une clientèle en quête de nouveaux horizons tout en respectant les exigences de la loi littoral. 

• En zone urbaine : d’exploiter un foncier de manière optimum en créant des logements qui peuvent correspondre à des clientèles spécifiques (familles monoparentales, seniors, professionnels, …). 

Nos projets sont conformes aux règles de densification et de renouvellement urbain.- Ces axes de développement sont et resteront ceux d’Urbatys, qui pourra ainsi répondre aussi bien à la demande grandissante des particuliers qu’à l’attente des collectivités.

L’APPORT DU TRAVAIL DE L’ARCHITECTE

Laurence Croslard, architecte et urbaniste, travaille en collaboration avec Maisons de l’Avenir City sur leurs projets

« Je travaille sur ces projets depuis quatre ans environ, depuis le départ du nouveau label « Maisons de l’Avenir City ».

J’interviens de la conception jusqu’au permis de construire. Mon rôle est de concevoir des projets de maisons individuelles, et Maisons de l’Avenir prend en charge l’économie et la réalisation du projet.

En tant qu’architecte, ma fonction dans ce partenariat est de donner une cohérence, une harmonie et une personnalisation à un ensemble de maisons, mitoyennes ou pas. Je peux par exemple, proposer un projet de base qui peut se décliner avec des variantes de couleur ou de matériaux. J’essaie également de faire en sorte que les propositions soient différentes, originales et appropriées au site dans lequel elles s’inscrivent afin de se démarquer de la production classique. Mon travail offre une valeur ajoutée en termes d’image et d’esthétique.

Nous évoluons en complémentarité avec Maisons de l’Avenir car je maîtrise toute la partie conception, et eux ont de leur côté une filière d’entreprises partenaires qu’ils connaissent bien. Ils obtiennent donc de meilleurs prix. Les projets bénéficient donc des apports respectifs de chacun »

Maisons de l’Avenir City zoom sur une équipe homogène et réactive

La réussite du projet Maisons de l’Avenir City repose à la fois sur une méthode de travail, de nombreux moyens mis en œuvre et une équipe réactive, où plusieurs métiers travaillent en synergie. Focus sur ses principaux protagonistes.

L’« éclaireur » : Philippe Violle est l’interlocuteur qui va faire connaître le montage Maisons de l’Avenir City, sa mécanique, son intérêt, aux acteurs concernés de la chaîne habitat : les EPCI, maires, aménageurs publics ou privés, urbanistes…

– La « tour de contrôle » : Ivan Le Theno est le directeur du développement. Son rôle est de coordonner et superviser les actions des différents métiers. Il est en lien avec la direction du groupe tout au long du processus en tant qu’animateur et interlocuteur de l’ensemble des acteurs internes et externes.

– Le « cœur du réacteur » ou le bureau d’études : Bruno Descormier et Manuela Dandois dessinent et chiffrent les projets Maisons de l’Avenir City. Leurs propositions prennent en compte tant les attentes des partenaires en matière de cibles de clientèle, de densification et d’architecture, que les prescriptions d’urbanisme ou celles des cahiers des charges des Z.A.C ou lotissements.

« La force de frappe » : Cyril Renvaze, Christophe Colloch, Mathieu Janneau et Jean Ropers sont les managers commerciaux de Maisons de l’Avenir City. Ce sont eux qui, lors du montage du projet, vont donner leur avis d’experts sur l’état des marchés locaux et sur les prix compatibles avec ceux-ci. Ce sont surtout eux qui, avec leurs équipes de conseillers, vont définir et mettre en place un plan d’action commercial visant une vente rapide des lots et maisons des programmes Maisons de l’Avenir City.

– Enfin, les « bâtisseurs » : les conducteurs de travaux vont lancer, coordonner et surveiller les chantiers de construction. Avec deux points forts de vigilance : le respect des délais et la qualité des prestations fournies par les artisans.

C’est cette équipe aux compétences variées et qui se complètent, qui permet d’offrir une cohérence à tous les projets de Maisons de l’Avenir City.

Une nouvelle approche de l’habitat individuel

Maisons de l’Avenir City constitue une innovation importante dans le secteur de la construction de maison individuelle. 

Il poursuit en effet un triple objectif, souvent absent dans les montages traditionnels : il favorise la densification, la cohérence architecturale et la mise sur le marché de produits à prix maîtrisés. Pour ce faire, Maisons de l’Avenir City repose sur une méthode de travail nouvelle, fondée sur une concertation très en amont des projets entre tous les acteurs de la chaîne habitat : aménageurs, constructeurs, élus, urbanistes, architectes… 

 

L’idée est de partir de la cible de ménages que la commune veut attirer sur son territoire, et de concevoir un « couple terrain/construction » conforme aux attentes de cette cible et à leurs moyens financiers. Tous les acteurs, et en particulier les élus, auront ainsi une vision a priori et maîtrisée des constructions qui seront édifiées dans les ZAC ou lotissements. 

De plus en plus d’EPCI et de communes intègrent ce montage dans leurs politiques de l’habitat. La meilleure illustration en est Rennes Métropole qui, en l’assortissant de prix plafonds, en a fait un élément novateur de son dernier PLH.

L’habitat en France, des tendances pour l’avenir

Le secteur de l’habitat, et notamment celui de la maison individuelle, a été fortement marqué par la pandémie de Covid-19. De nouvelles tendances ont émergé, d’autres se sont renforcées… Une chose est sûre, notre quotidien et notre rapport à l’habitat sont modifiés. Des volumes intérieurs mieux agencés et la présence d’un extérieur sont devenus essentiels. Le numérique, par le biais du télétravail et des logements plus respectueux de l’environnement deviennent des critères importants pour les ménages.

La maison au cœur des préoccupations, un besoin d’espace 

Après plusieurs mois de confinement, le besoin d’espace se fait sentir. Les ultras citadins se tournent vers la campagne et quittent leur appartement de centre-ville pour se diriger vers des maisons dans de plus petites agglomérations ou à la campagne. Les modes de vie ont évolué et, à la suite de cette période, les Français passent plus de temps chez eux. Ainsi, l’aménagement intérieur et surtout l’agencement des pièces deviennent primordiaux. La création au sein des maisons d’espaces pour chacun est de plus en plus demandée : un bureau, une salle de sport, une chambre pour chaque membre de la famille… Nombreux sont les citoyens à se tourner vers la maison individuelle en construction. Cela permet de définir ses priorités quant à l’agencement des pièces, de disposer d’un environnement plus privé et de répondre à ce besoin pressant d’espace. La maison individuelle est encore aujourd’hui un objectif pour de nombreux Français. D’après une étude de l’Institut Harris Interactive juste après le confinement, 62% des interrogés souhaitaient quitter leur appartement pour une maison. 

Le jardin et les extérieurs, une préoccupation centrale des familles

L’appartement dispose de nombreux avantages : accès moins coûteux à la propriété, densification urbaine, … Cependant, sa plus grande limite est l’absence d’extérieur pour une majorité d’entre eux. Le jardin est ce qui a manqué le plus aux familles durant la période de confinement. Avec l’impossibilité de se rendre dans des lieux extérieurs publics, la vie familiale s’est complexifiée. 

La présence d’un extérieur est devenue un critère incontournable pour l’achat d’un bien immobilier en résidence principale. Ainsi, les familles, en particulier avec enfants, souhaitent investir dans des biens avec un extérieur. Le jardin devient une pièce supplémentaire de la maison, aussi importante que la cuisine ou la salle de bains. La solution de Maisons de l’Avenir ? Des maisons éco-conçues où l’orientation des surfaces vitrées et leur nombre permettent d’inviter l’extérieur à l’intérieur pour un confort optimal. 

Le travail à la maison, une véritable évolution 

Nous sommes nombreux à avoir goûté au télétravail. La crise sanitaire nous a permis de nous rendre compte que le travail à domicile était une option viable grâce aux différents progrès digitaux. Pour certains, cela a été l’occasion de trouver un nouvel équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Une chose est sûre, le télétravail se démocratise et l’habitat doit évoluer dans ce sens. 

Les maisons neuves peuvent prévoir l’implantation dès la conception d’un espace de travail individuel ou mixte, pour permettre à chaque membre de la famille de trouver son équilibre. Un bureau dédié la journée au télétravail des parents et le soir aux devoirs des enfants. 

L’écologie, plus que jamais au cœur des considérations 

La crise sanitaire et ses conséquences ont réveillé les consciences écologiques. Aujourd’hui, la conception de l’habitat doit préserver les ressources naturelles. Les maisons neuves sont mieux isolées pour permettre aux foyers de consommer moins d’énergie. L’implantation de pompe à chaleur ou de panneaux photovoltaïques permet également de faire un geste pour la planète et pour son portefeuille. 

L’habitat de demain se veut également plus sain : des espaces ventilés, une limitation des composants organiques volatiles, un intérieur lumineux… Il est aussi possible de concevoir un potager dans son jardin, d’installer de la domotique pour mieux gérer ses consommations, etc. La maison de demain se dessine avec les clients pour un foyer mieux conçu.